La Chine n’en demeure pas moins sous surveillance étroite
Alors que la Chine et les États-Unis s’apprêtent aujourd’hui à signer le “Premier Acte” de leur accord commercial à la Maison Blanche, Washington vient tout juste de retirer l’Empire du Milieu de sa “liste noire des pays manipulateurs de devises”.
Malgré sa sortie de cette liste, la Chine n’en demeure pas moins sous surveillance étroite, et les termes de l’accord commercial ne devraient d’ailleurs pas occulter cette thématique monétaire. D’autres pays plus surprenants, tels que la Suisse, font quant à eux le chemin inverse, et figurent donc depuis hier sur cette “liste noire” établie par les États-Unis.